Bien qu’il se concrétise sous plusieurs formes, le rôle de l’équipe des communications d’entreprise est d’abord et avant tout de partager les informations et les histoires qui s’inscrivent dans les activités passées, présentes et futures d’EXP, en s’assurant de rejoindre ses différents auditoires. À l’image de l’entreprise et du monde des communications, l’équipe s’agrandit et améliore constamment les méthodes et les approches qui lui permettent de communiquer de façon efficace avec le public, les 3500+ employés et les nombreux clients de l’entreprise répartis dans des provinces et des États différents, et au sein même de l’équipe. Équipe primée pour plusieurs de ses réalisations, chacun de ses membres travaille avec passion, mettant à profit sa formation pour exprimer soigneusement la culture d’entreprise unique d’EXP, une culture selon laquelle l’esprit entrepreneurial, le mentorat, l’unité et l’engagement envers nos clients et les collectivités que nous servons sont les fondements de la réussite.

Pour nous parler de l’accueil à distance de nouveaux membres au sein de l’équipe, de leur immersion dans une culture dynamique et de leur épanouissement, nous donnons la parole à Emmanuelle Landry, vice-présidente des communications d’entreprise; Marie-Hélène Laneville, traductrice et réviseure principale; Nadia Abou, gestionnaire des communications pour les É.-U.; Eileen Peters, coordonnatrice des communications aux É.-U.; et Martin Angers, traducteur.


Lors de votre entrevue d’embauche, vous avez appris que vous vous joindriez à une équipe bilingue au sein d’une entreprise qui offre des services aux quatre coins de la planète et possède 90+ bureaux à l’échelle de l’Amérique du Nord. Quelle a été votre réaction ? Est-ce que cela a changé l’idée que vous vous faisiez du poste et de la dynamique de l’équipe à laquelle vous vous joindriez ?

Martin: J’étais emballé de savoir que j’allais travailler avec des personnes réparties un peu partout en Amérique du Nord, ce qui me permettrait d’avoir accès à une variété de points de vue. Par contre, ça n’a pas vraiment changé l’idée que j’avais du rôle que j’aurais à jouer étant donné qu’en traduction, nous sommes habitués de travailler au sein d’équipes où les différentes cultures cohabitent.

Eileen: Lorsque j’ai su que l’équipe était bilingue et internationale, j’ai tout de suite compris que mon rôle allait être multidimensionnel et impliquer de la collaboration. Comme je savais déjà que mes premiers contacts avec mes collègues seraient virtuels, l’idée de travailler avec des personnes se trouvant dans un autre pays ne m’a pas paru inhabituelle en cette ère du télétravail. En fait, ça rendait le poste encore plus intéressant !

Qu’est-ce qui vous a signalé, lors de l’entretien d’embauche, qu’EXP offrait un milieu de travail où vous alliez pouvoir évoluer et apprendre ?

Martin: C’est l’ouverture d’esprit que j’ai ressenti de la part d’Emmanuelle et de Marie-Hélène. Leur authenticité m’a permis d’être moi-même, et on a pu discuter du style de travail collaboratif de l’équipe. J’ai immédiatement senti que l’équipe était harmonieuse, ce que je crois être une fondation solide pour l’apprentissage et l’évolution.

Eileen: Durant l’entrevue d’embauche, Nadia m’a expliqué que l’esprit entrepreneurial est valorisé et bien ancré chez EXP, ce qui m’a fait réaliser que les occasions d’apprendre et d’évoluer en travaillant auprès de professionnels talentueux et dynamiques seraient nombreuses.

Quelle place sentez-vous que le mentorat occupe dans votre pratique de la traduction ?

Martin: Il s’agit de ma première expérience professionnelle en traduction, et je sens que j’apprends beaucoup en travaillant aux côtés de Marie-Hélène, qui est traductrice agréée et qui révise mon travail en me fournissant des rétroactions et des conseils qui m’aident à apprivoiser la profession de traducteur elle-même mais aussi celle de traducteur au sein d’une firme de génie. Elle travaille chez EXP depuis presque dix ans, et je sens que je continuerai d’en apprendre beaucoup en travaillant avec elle.

Marie-Hélène: Un peu comme le génie, la traduction est un processus qui nécessite qu’on tienne compte de plusieurs éléments et contraintes, en plus de ne laisser aucune place à l’ambiguïté. Au fil des années, j’ai eu l’occasion de travailler avec des experts des différents domaines du génie qui m’ont expliqué leur travail afin que je puisse développer une compréhension précise et complète des textes sources pour en produire une traduction fiable et de qualité. L’arrivée de Martin au sein de l’équipe me permet de partager ces connaissances et ce que j’ai mis en marche au cours des dix dernières années, tout en pouvant compter sur l’apport d’un jeune traducteur qui sort de l’université avec une approche et des compétences actuelles. Le mentorat, pour moi, c’est une voie sur laquelle on s’engage à deux et sur laquelle chacun apprend et devient meilleur.

En tant que nouvelle gestionnaire, comment as-tu abordé le processus d’embauche et d’accueil dans un contexte virtuel ?

Nadia: Je m’attendais à ce que le processus d’embauche soit complexe, même sans pandémie mondiale. Ce contexte nécessitait qu’on accorde encore plus d’importance à un élément en particulier, soit l’attention qu’on porte à l’autre. En me mettant à la place d’une personne qui entreprenait une nouvelle carrière dans le contexte qui régnait, je me suis dit que la situation serait plus stressante pour cette personne que pour moi. De mon côté, cela représentait une occasion de m’épanouir en surmontant ce nouveau défi. Notre firme est ancrée dans l’esprit entrepreneurial : lorsque les temps changent, nous adaptons notre approche afin de continuer à réussir, pour nos clients et nos employés. C’est donc ce que j’ai fait. J’ai adopté une approche qui impliquait plus de préparation et de planification, gardant toujours à l’esprit ce que nous répètent nos dirigeants, Ivan et Mark Dvorak, soit de demeurer alertes et agiles.

Que trouvais-tu important d’enseigner à quelqu’un qui devenait gestionnaire ?

Emmanuelle: Mon approche avec Nadia n’était pas de lui enseigner quoi que ce soit, mais plutôt de l’aider à naviguer dans les processus d’embauche et d’accueil, car le partage de connaissances et d’expériences se fait d’abord au moyen d’un dialogue transparent. Ce dialogue s’articulait autour des moyens à emprunter pour trouver la personne qui correspondrait le mieux à l’équipe. Une équipe solide est composée de personnes qui se complètent et qui sont orientées vers le travail d’équipe. Au fil des années, j’ai travaillé avec Nadia pour forger cet esprit d’équipe, afin qu’elle prenne en considération cet élément lors du processus d’embauche.

Quel est le plus grand défi que l’équipe a dû surmonter pour accueillir de nouveaux employés à distance ?

Emmanuelle: Ça a été de créer un environnement collaboratif où les nouveaux employés ne se sentent pas isolés. Comme la première semaine est cruciale, nous avons planifié chaque journée de cette semaine d’accueil et d’intégration afin d’en faire une expérience agréable et constructive pour tous. En travaillant ensemble et en participant tous à l’accueil des nouveaux membres de l’équipe, nous leur avons démontré que peu importe l’endroit d’où nous travaillons, nous sommes tous là pour nous entraider.


En ces temps changeants, l’agilité est primordiale. L’équipe des communications d’entreprise a canalisé son agilité, et son esprit d’équipe, pour créer un environnement accueillant pour ses nouveaux membres. Essentiellement, une équipe durable repose sur une habile combinaison de personnes, une communication fluide, et la mise en place d’un environnement aussi dynamique qu’accueillant, et ce, dès la première journée.

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*Paru initialement dans notre magasine expresso : concevoir demain